Grace à un procédé de transformation technologique bien défini, l’entreprise répond aux besoins spécifiques des poissons d’eaux douces en produisant des aliments à base des sous-produits agricoles, combines avec des produits de synthèses.
L’idée fondatrice de Forpet est née de l’observation d’une réalité économique dans le secteur de la pisciculture au Cameroun : la quasi-totalité des aliments pour poissons est importée. Ces produits sont souvent coûteux et, en raison des ruptures de stock fréquentes, leur disponibilité est incertaine. Face à cette dépendance, Forpet a vu une opportunité de réduire cette fragilité en produisant des granulés flottants locaux pour poissons.
L’entreprise transforme des sous-produits agricoles tels que le maïs, le tourteau de soja, le tourteau d’arachide, le tourteau de coton, le son de blé, la farine de poisson, ainsi que des produits de synthèse comme des acides aminés, des vitamines synthétiques et des fixateurs. La principale machine utilisée dans le processus de transformation est l’extrudeuse, qui permet de fabriquer les granulés sous différentes granulométries (2mm, 3mm, 4mm, 5mm, 6mm et 8mm). L’entreprise propose ses produits en format de 15 kg, afin de répondre aux besoins des pisciculteurs locaux, tout en offrant une solution fiable et durable. Ces aliments sont spécifiquement conçus pour nourrir les poissons d’eaux douces et garantir une croissance optimale, contribuant ainsi à une aquaculture durable et locale.
L’entreprise, dirigée par Gislain Kamdem Noubissi se positionne comme un acteur clé du développement de la chaîne de valeur piscicole et halieutique au Cameroun. En contribuant à la réduction de la dépendance aux importations et en soutenant l’industrie locale, Forpet s’engage à améliorer la qualité de la production aquacole et à rendre les produits locaux accessibles à un large public. Grâce à cette initiative, Forpet joue un rôle essentiel dans la promotion de l’agriculture durable et de l’agri-business au Cameroun, tout en apportant des solutions concrètes aux défis du secteur de la pisciculture.
Courage collègue. L’aquaculture nationale et sous-régionale a vraiment besoin des personnes comme toi. Vas-y plus loin. Que Dieu te bénisse encore