Les résultats du concours de l’ESSTIC 2025/2026 sont désormais disponibles sur notre chaîne WhatsApp JournalEtudiant.com et sur notre site journaletudiant.com
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Les résultats du concours d’entrée en cycle licence de l’École Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC) sont désormais disponibles depuis ce jeudi 25 septembre 2025.
Dans la filière Journalisme 50 candidats ont validé le ticket et 21 sont dans la liste d’attente, en Communication des Organisations 50 ont réussi et 25 dans la liste d’attente, à Information Documentaire 40 ont réussi pour 8 en attente, dans la filière Publicité 25 sont admis et 5 sur la liste d’attente, en Edition et Arts Graphique 25 ont réussi et 5 dans la liste d’attente. Pour les candidats étrangers il y a 1 en journalisme et 1 admis en Communication des Organisations. En attendant la date officielle de la rentrée académique, les heureux élus jubilent avec faste et solennité leur réussite.
La tension est montée
Chaque année, à la même période, une ambiance électrique s’empare des couloirs numériques et des groupes WhatsApp : celle de l’attente des résultats du concours d’entrée à l’ESSTIC. Entre espoir fébrile et calculs d’auto-évaluation post-épreuves, les candidats vivent un véritable tourbillon émotionnel.
Ce concours, considéré comme l’un des plus redoutés dans le domaine de la communication et des sciences de l’information au Cameroun, est aussi l’un des plus convoités. Pour beaucoup, intégrer l’ESSTIC, c’est faire un pas décisif vers une carrière dans le journalisme, la communication institutionnelle, ou encore les métiers des bibliothèques et archives. C’est une porte vers l’excellence, mais aussi une promesse d’ascension sociale dans un pays où l’accès à l’emploi qualifié demeure un défi.
Depuis quelques jours, la tension est à son comble. Les candidats, anciens comme nouveaux bacheliers, sont dans l’attente fébrile des résultats. Derrière les sourires nerveux et les conversations feutrées sur les campus ou les réseaux sociaux, une peur sourde : celle de ne pas être à la hauteur. Peur de décevoir, peur de devoir tout recommencer l’année suivante. « Je n’arrive plus à dormir. J’ai tout donné, mais j’ai quand même peur », confie Marie, une candidate en journalisme.
À ses côtés, Stéphane, candidat en communication des organisations, tente de relativiser : « On a fait notre part. Maintenant, on attend. Mais franchement, le stress est trop fort. » explique-t-il. L’ESSTIC ouvre bientôt ses portes à une nouvelle cuvée. Mais en attendant, les cœurs battent encore à cent à l’heure. La tension monte mais l’espoir, lui, reste bien vivant.