Avec neuf sous-admissibles sur dix candidats engagés, l’Université de Dschang signe une performance remarquable à la 22ᵉ édition du concours d’agrégation du CAMES.
Le dernier résultat des sous-admissibilités est enfin tombé. Les trois candidats de la section sciences économiques présentés par l’Université de Dschang ont tous été retenus. Un sans-faute qui vient couronner des mois de préparation intensive. Ce résultat porte à neuf le nombre total de sous-admissibles sur les dix candidats engagés par l’institution dans cinq sections : Droit public, Droit privé, Sciences de gestion, Science politique et Sciences économiques. Un score impressionnant de 90 % qui propulse l’Université de Dschang parmi les établissements les plus performants à cette 22e édition du concours d’agrégation du CAMES.
Cap sur Dakar pour la phase finale
Les candidats qualifiés s’envoleront pour Dakar, au Sénégal, le 10 novembre 2025, où ils participeront à la phase en présentiel du concours. Alors que tous les regards se tournent vers Dakar, les neuf plénipotentiaires de l’Université de Dschang portent désormais les espoirs d’un retour victorieux au soir du 22 novembre. Leur succès rejaillirait sur toute l’institution, renforçant sa notoriété et sa place dans le concert des universités africaines d’excellence. L’Université de Dschang montre ainsi que lorsque la volonté de réussir s’allie à une organisation efficace, l’excellence devient une norme, et non une exception.
Un succès bâti sur une stratégie académique rigoureuse Au-delà de la performance individuelle, ce résultat illustre la solidité du dispositif institutionnel mis en place par l’Université de Dschang. Sous l’impulsion du Recteur, Pr Roger Tsafack Nanfosso, l’université a institué une Commission Institutionnelle Locale du CAMES et un centre de préparation spécifique pour le concours. Ce cadre structurant a permis un accompagnement méthodique des candidats : encadrement pédagogique, revues critiques de travaux, simulations, renforcement méthodologique, etc. Cette réussite n’est pas le fruit du hasard. Elle est le résultat d’une vision claire de ce que doit être une université moderne : orientée vers la performance, attachée à la qualité de ses ressources humaines, et engagée à jouer un rôle majeur dans l’espace universitaire africain.































































