Profitant des vacances, certains élèves se lancent dans de petits commerces ambulants, soit à l’initiative de leurs parents, soit de leur propre chef, dans le but de se faire un peu d’argent pour préparer la prochaine rentrée scolaire.
Durant les congés scolaires, les marchés et les grands carrefours :se remplissent d’un groupe bien particulier : des jeunes vendeurs ambulants. Sac à dos sur l’épaule ou plateau à la main, ils vendent un peu de tout, des friandises, des cahiers ou des bijoux. Derrière cette activité intense se cache un objectif clair : réunir les fonds nécessaires pour assurer leur retour à l’école. « Ma mère n’a pas assez de moyen pour m’acheter les fournitures nécessaires ou bien le nécessaire pour ma scolarité, donc je me bats un peu pour pouvoir pallier à mes besoins », affirme un jeune commerçant à la poste centrale de Yaoundé. Dans un pays où le taux de chômage est estimé à 74 %, selon l’Institut national de la statistique, ce commerce de survie devient une solution pragmatique nécessaire. Au-delà de l’argent gagné, il joue un rôle formateur. Elle inculque aux jeunes des valeurs de responsabilité, de rigueur et de gestion.
En plus d’apprendre à gérer un petit revenu, ces jeunes développent des compétences relationnelles et commerciales précieuses pour leur avenir. Loin de l’oisiveté, ils deviennent acteurs de leur propre réussite surmontant les obstacles économiques. En attendant la rentrée scolaires 2025/2026, ces commerçants en herbe poursuivent leur quête, sous le soleil ou la pluie, animés par une ambition simple mais puissante : ne pas manquer la rentréeDurant les congés scolaires, les marchés et les grands carrefours :se remplissent d’un groupe bien particulier : des jeunes vendeurs ambulants. Sac à dos sur l’épaule ou plateau à la main, ils vendent un peu de tout, des friandises, des cahiers ou des bijoux. Derrière cette activité intense se cache un objectif clair : réunir les fonds nécessaires pour assurer leur retour à l’école. « Ma mère n’a pas assez de moyen pour m’acheter les fournitures nécessaires ou bien le nécessaire pour ma scolarité, donc je me bats un peu pour pouvoir pallier à mes besoins », affirme un jeune commerçant à la poste centrale de Yaoundé.
Dans un pays où le taux de chômage est estimé à 74 %, selon l’Institut national de la statistique, ce commerce de survie devient une solution pragmatique nécessaire. Au-delà de l’argent gagné, il joue un rôle formateur. Elle inculque aux jeunes des valeurs de responsabilité, de rigueur et de gestion. En plus d’apprendre à gérer un petit revenu, ces jeunes développent des compétences relationnelles et commerciales précieuses pour leur avenir. Loin de l’oisiveté, ils deviennent acteurs de leur propre réussite surmontant les obstacles économiques. En attendant la rentrée scolaires 2025/2026, ces commerçants en herbe poursuivent leur quête, sous le soleil ou la pluie, animés par une ambition simple mais puissante : ne pas manquer la rentrée